Politique Eco
Politique & Eco n°389 avec François Asselineau (UPR) - E. Macron : une dictature sournoise
L’économie française se porte mal par la faute de ses dirigeants.
L’agence de notation Fitch Ratings vient de dégrader la note financière de la France. C’est une humiliation pour Emmanuel Macron qui faisait de la réforme des retraites le signal envoyé aux marchés financiers pour continuer de les solliciter pour la dépense publique. Le déficit budgétaire, la dette, le déficit commercial atteignent des niveaux inégalés dans l’histoire, la France est en faillite. Le plan de relance de l’UE qui va coûter plus cher à la France qu’elle ne lui rapporte, comme d’ailleurs sa contribution au budget européen, constitue une spoliation des Français doublée d’une obligation d’utiliser les fonds selon les volontés de l’UE.
A propos de l’Europe, nous enregistrons cette émission le jour du 9 mai, jour de la déclaration de Robert Schuman sur la construction européenne. François Asselineau se livre à une brillante démonstration des deux paternité européennes, l’Amérique et le Vatican, d’où pour ce dernier, les démarches de béatification de Robert Schumann.
Macron ne comprend pas la Constitution et encore moins le peuple français.
"Dire ce que l’on va faire et faire ce que l’on a dit", comme l'a déclaré Emmanuel Macron, ce n’est pas la démocratie, celle -ci est une obligation de tous les instants. Partisan du Frexit, François Asselineau se voit souvent opposer la situation de la Grande -Bretagne après le Brexit : inflation, déficits, pauvreté et menaces sur la Livre sterling. Selon lui, on ne peut considérer que c’est la faute du Brexit. La réalité de la France est qu’elle est dans une situation de dépendance euro-atlantiste et que c’est l’Allemagne qui est la grande gagnante de l’UE. Selon François Asselineau, il faut clairement identifier les dangers : ce ne sont ni la Russie, ni la Chine, ni le monde arabe, mais les Etats-Unis et l’Allemagne qui abaissent la souveraineté et l’indépendance française.
Politique & Eco avec Bernard Monot - L'or de la Banque de France : un bouclier contre la banqueroute ?
L’agenda mondialiste occidental accélère ! Deux périls mortels menacent la France : la guerre militaire en Europe et la servitude du peuple par le chaos. Alors que les provocations et sanctions anti-russes se multiplient depuis Bruxelles, le risque de banqueroute financière plane sur le pays et la zone euro. Face à l'aggravation du déficit anticipé par le FMI en avril dernier, le premier ministre François Bayrou est bien à la peine pour trouver les milliards d'euros d'économies pour 2026...
- Comment le premier ministre va-t-il arbitrer entre hausse des impôts et baisse des dépenses publique ?
- Est-on vraiment au bord d'un krach obligataire ?
Bernard Monot, économiste politique, vice-président du Cercle national des économistes (CNE), et ancien député au Parlement européen, redoute le pire : un krach obligataire qui provoquerait un effondrement monétaire systémique. Face à cette situation, le CNE appelle le Parlement à organiser un audit des 2 436 tonnes d'or français dont 90% sont entreposés à la Banque de France (plus 10% à la FED) et à lancer un programme d'achat d'or pour récupérer les 590 tonnes vendues par Nicolas Sarkozy.
- Quelle est la valeur de la réserve nationale d'or ?
- Pourquoi l'or peut-il servir d'assurance et d'extincteur à dette ?
- A quoi servirait un audit des stocks d'or français ?
A moins de deux ans de la prochaine élection présidentielle, Bernard Monot révèlera aussi les deux personnalités, l'une de gauche, l'autre de droite, susceptibles de sauver la France.
A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée :"Du pouvoir à l’or : Castaner et les portes dorées du privé".
Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora. Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici
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