Politique Eco

Politique & Eco n°344 avec Olivier Tournafond - Despotisme numérique : vers l'esclavage planétaire ?

Publiée le 16/05/2022
On peut dire que sur le terrain pourri du matérialisme et du cynisme spécifiques à nos Etats occidentaux, depuis une cinquantaine d'années, les libertés étaient en recul constant... Les Etats et les groupes d'influence avaient passé leur temps à mettre en place des mesures liberticides en tous genre : lois mémorielles, lois condamnant telle ou telle pratique, censure de fait, bureaucratie étouffante... Ce sont les atteintes anciennes. Toutefois, elles étaient contenues par l'existence de frontières, le cloisonnement des oligarchies et surtout les limites de la technique. Mais depuis 2020, les progrès informatiques conjugués à la mondialisation des élites ont entraîné une aggravation spectaculaire de la situation avec un recul sans précédent des libertés. Ces mesures brutales et traumatisantes sont les confinements, le traçage des populations, les pass sanitaire ou vaccinal, les QR codes, les centres de rétention, les interventions policières à domicile, les persécutions de certaines catégories de citoyens. Enfin, si l'on ne réagit pas énergiquement et massivement avant qu'il ne soit trop tard, de nouveaux assauts plus graves encore risquent d'être portés aux libertés collectives et individuelles. Ce sont tous les sinistres projets tels identité numérique, reconnaissance faciale, censure des idées déviantes, blocage à distances des comptes bancaires ou de la liberté d'aller et venir, terreur climatique justifiant tous les abus et toutes les restrictions. C'est l'arrivée d'un véritable esclavage planétaire, sans doute le plus odieux de toute l'histoire de l'humanité. Arrivé à ce stade de l'analyse, la pratique démocratique montre que les foules une fois manipulées par une habile "ingénierie sociale" ne sont pas du tout défavorables à cette tyrannie nouvelle. La loi et la démocratie sont en train de devenir les fondements du despotisme numérique. La grande question est de savoir si l'on peut fonder un Etat moderne sur autre chose que le mythe de la volonté populaire.

Politique & Eco avec Bernard Monot - L'or de la Banque de France : un bouclier contre la banqueroute ?

Publiée le 16/06/2025

L’agenda mondialiste occidental accélère ! Deux périls mortels menacent la France : la guerre militaire en Europe et la servitude du peuple par le chaos. Alors que les provocations et sanctions anti-russes se multiplient depuis Bruxelles, le risque de banqueroute financière plane sur le pays et la zone euro. Face à l'aggravation du déficit anticipé par le FMI en avril dernier, le premier ministre François Bayrou est bien à la peine pour trouver les milliards d'euros d'économies pour 2026...

- Comment le premier ministre va-t-il arbitrer entre hausse des impôts et baisse des dépenses publique ?

- Est-on vraiment au bord d'un krach obligataire ?

Bernard Monot, économiste politique, vice-président du Cercle national des économistes (CNE), et ancien député au Parlement européen, redoute le pire : un krach obligataire qui provoquerait un effondrement monétaire systémique. Face à cette situation, le CNE appelle le Parlement à organiser un audit des 2 436 tonnes d'or français dont 90% sont entreposés à la Banque de France (plus 10% à la FED) et à lancer un programme d'achat d'or pour récupérer les 590 tonnes vendues par Nicolas Sarkozy.

- Quelle est la valeur de la réserve nationale d'or ? 

- Pourquoi l'or peut-il servir d'assurance et d'extincteur à dette ?

- A quoi servirait un audit des stocks d'or français ?

A moins de deux ans de la prochaine élection présidentielle, Bernard Monot révèlera aussi les deux personnalités, l'une de gauche, l'autre de droite, susceptibles de sauver la France.

 

A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée :"Du pouvoir à l’or : Castaner et les portes dorées du privé".  

Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora. Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici