Zooms

Zoom - Député Laurence Robert-Dehault (RN) : Coupe du monde au Qatar : le rôle de la France

Publiée le 27/09/2022

Pour notre "Zoom" du jour : le député de la 2nde circonscription de Haute-Marne, Laurence Robert-Dehault. Membre de la commission des affaires étrangères, cette élue du Rassemblement National tire la sonnette d'alarme quant à la participation sécuritaire de l'État français dans la Coupe du monde de football au Qatar.

Zoom - Patricia Chagnon - Frères musulmans : infiltration au sommet

Publiée le 24/06/2025

Le 9 décembre 2022, en pleine Coupe du monde de football au Qatar, un scandale de corruption éclabousse le Parlement européen : le Qatargate. La désormais ex-vice-présidente Éva Kaïlí, député socialiste grecque, est incarcérée après que la police belge ait retrouvé à son domicile à Bruxelles des sacs remplis d’argent liquide, argent qu’elle aurait perçu en échange de la défense des intérêts du Qatar. 

Vingt-deux ans avant ce scandale, à l’automne 2000, le Qatar accueillait l’ensemble des Etats musulmans dans un sommet au cours duquel ils adoptaient, sous l’égide de l’ISESCO – l’équivalent de l’UNESCO pour le monde islamique – un protocole envisageant expressément la substitution de l’Islam (rigoriste) à notre civilisation en Occident. Dit autrement : à construire des sociétés régies par les codes de la charia, la loi islamique, en Europe. Tout le plan d’action y était expliqué : développement du communautarisme, de la culture et de l’éducation islamiques, financement de mosquées, mais aussi… identification de sympathisants dans les pays occidentaux. Tout était prévu. Mais l’Occident n’avait rien vu. Ou plutôt, une partie de ses dirigeants, tantôt compromis par les intérêts financiers (à droite) ou par l’idéologie du prétendu "droit à la différence" (à gauche). Pendant ce temps, les Frères musulmans sont parvenus à faire avancer leur agenda en Occident. Patricia Chagnon, ancien député au Parlement européen, publie "Qatargate : Le résultat de plus de vingt ans d'ingérence, de complaisance idéologique et financière". 

 

Tout était prévu. Mais l’Occident n’avait rien vu.