Têtes à Clash

Têtes à Clash spéciale 100ème 1ère partie : Après la présidentielle, ça clash à droite !

Publiée le 29/04/2022
TVLibertés célèbre la 100ème édition de "Têtes à Clash" avec un format exceptionnel diffusé en deux parties. L'émission réunit 24 "clasheurs", remontés à bloc au regard du contexte politique. Ils s'affrontent sur : - les résultats de la présidentielle et les conséquences de l'élection d'Emmanuel Macron sur le destin de la France. (Loup Viallet, Tarick Dali, Valérie d'Aubigny, Fabien Bouglé, Laurent Artur du Plessis et Charles de Bourbon-Parme) - les mésententes à droite et la possibilité de réconciliation entre Eric Zemmour et Marine Le Pen donc sur les conséquences pour les élections législatives de juin. (Patrick Yvars, Jean-Louis Masson, Romain Guérin, François Bert, Tarick Dali et Philippe Chevrier) La suite de l'anniversaire de "Têtes à Clash", seconde partie de l'émission le vendredi 6 mai sur TVLibertés !

Têtes à Clash - Sarkozy au trou : la France touche-t-elle le fond ?

Publiée le 24/10/2025

Aux côtés de Franck Tanguy, Philippe Pascot, Cyril Bennasar, Michel Fize et Antoine Gainot débattent de deux sujets d’actualité : 

 

1) Mardi, Nicolas Sarkozy a été incarcéré à la prison de la Santé. L’ancien président a été condamné à 5 ans de prison ferme dans l’affaire des financements libyens de sa campagne présidentielle. Comme à son habitude, Nicolas Sarkozy déchaîne les passions, dans tous les sens du terme. Quand certains se réjouissent de son traitement par les juges, d’autres y lisent une véritable honte pour la France. Et vous, qu’en pensez-vous ? 

 

2) Depuis sa réélection en 2022, Emmanuel Macron peine à rétablir son assise politique. Après la dissolution de l’Assemblée nationale et un vote conduisant à un hémicycle éclaté, l’absence de majorité bloque les décisions politiques, plongeant le pays au cœur d’une valse des premiers ministres contraints à intriguer pour survivre. Face à ce que d’aucuns considèrent comme un blocage institutionnel, de plus en plus de voix s’élèvent pour réclamer le départ du président. Y compris parmi ses anciens ministres, à l’image d’Edouard Philippe. Mais Macron refuse l’hypothèse et l’idée d’une mort politique. Accroché à son pouvoir, peut-il un jour envisager sa démission ? Rien n’est moins sûr.