Bistro Libertés
Bistro Libertés avec Gilles-William Goldnadel : La mort du mâle occidental ?
Au programme de "Bistro Libertés" :
- Immigration : une situation sans fin ? Que penser des atermoiements du gouvernement sur la loi immigration ? La situation de Mayotte préfigure-t-elle la situation de la France métropolitaine ? Peut-on encore faire marche arrière ?
- Comment combattre le wokisme ? Qui sont les wokistes et comment les contrer ? Pourquoi gagnent-t-ils encore du terrain ? Quel est la responsabilité des médias et des pouvoirs publics dans son développement ?
Pour en parler, l’invité spécial d’Eric Morillot est Gilles-William Goldnadel, un avocat de combat. Il est dans la ligne de mire du MRAP et autres professionnels de l’antiracisme qui l’accusent de nouer des liens avec les diables de l’extrême-droite.
Il a défendu Patrick Buisson, Génération identitaire, Florian Philippot contre l’État du Qatar ou Oriana Fallaci, contre le MRAP, la LICRA et la LDH pour son livre jugé islamophobe. Il a défendu gratuitement Anne Kling contre le MRAP pour un tract liant immigration et insécurité.
Il est aussi chroniqueur sur le site Atlantico et en 2017 pour "Les Terriens du dimanche !" avec Thierry Ardisson. Gilles-William Goldnadel est maintenant un pilier de CNEWS où il dénonce la profonde dépression de l’homme occidental, accablé par la honte du passé et le wokisme anti-occidental.
Il sera confronté à Virginie Tellenne (Frigide Barjot), Mike Borowski, Greg Tabibian (j’suis pas content TV) et Rémi Tell.
Juan Branco et les pros de la rébellion à Bistro Libertés
Éric Morillot nous a concocté un plateau de rêve. Au lendemain de sa suspension du barreau, Juan Branco est l’invité spécial de cet épisode. Il est accompagné par :
- André Bercoff, polémiste et écrivain
- Jon de Lorraine, LE lanceur d’alerte sur X
- Greg Tabibian, le youtubeur aux 450 000 abonnés
- Didier Maïsto, le rebel antisystème
Ils dressent le constat affligeant de la dégringolade de notre pays. Sarkozy en prison et une macronie qui s’accroche au pouvoir : certains pensent que nous ne sommes plus dans un Etat de droit car il n’y a plus d’égalité devant la loi et l’Etat, car nos institutions sont désormais bloquées.
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