Passé Présent
Passé-Présent n°307 : L'imposture de l'art contemporain
Fiasco britannique en Afghanistan
Anne Sicard nous conte l'épisode considéré comme le plus humiliant de toutes les opérations militaires britanniques en Asie, à savoir leur dramatique retraite de Kaboul vers l'Inde au cours de l'hiver 1842. Jamais acceptés par les tribus afghanes, les soldats anglais furent contraints d'évacuer une région où ils s'étaient installés pour s'opposer à la présence russe. Cheminant difficilement dans un terrain escarpé, paralysés par le froid glacial, mal commandés, harcelés par les attaques des combattants afghans, la quasi-totalité des malheureux fuyards périrent au cours de leur fuite.L'imposture de l'art contemporain
Artiste elle-même, spécialiste et analyste des dérives de l'art contemporain officiel, Aude de Kerros dénonce, dans son dernier livre, la compromission de cet art du concept avec la finance et le pouvoir. Face à Philippe Conrad, très au fait également de la folle tentative qui consiste à effacer la peinture de ses bases esthétiques, Aude de Kerros insiste sur l'intervention directe de l'Etat pour légitimer et imposer ce qui est devenu un conformisme, malgré le faible succès public de ces manifestations dites artistiques où le mauvais goût le dispute à l'outrance. "L'imposture de l'art contemporain - Une utopie financière" par Aude de Kerros - Ed. Eyrolles poche - 406 p.[Rediffusion] Le Nouveau Passé-Présent avec Bruno Dary - L'Opération Bonite, le 2e REP saute sur Kolwezi
C’est un succès devenu un cas d'école. Le 19 mai 1978, les légionnaires du 2e régiment étranger de parachutistes étaient largués sur la ville de Kolwezi, au sud-est du Zaïre (dans l’ex-Congo belge et devenu depuis la République démocratique du Congo). Cette opération fut décidée en urgence par le président de la République Valéry Giscard d'Estaing et fit suite à une demande d'aide du président zaïrois Mobutu. Elle avait pour objectif de sécuriser la ville – aux mains des rebelles katangais du FLNC (Front de libération nationale du Congo d’obédience marxiste), et de libérer les Européens piégés sur place. Le général Bruno Dary, alors jeune lieutenant, chef de section, a participé à cette opération à haut risque. Il témoigne aujourd'hui sur TVL.
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